Les lunettes de soleil les plus chères du monde par Dolce & Gabbana
Dolce & Gabbana se distingue des autres marques de luxe en sortant les lunettes de soleil les plus chères du monde avec un design très fashion. Ces lunettes de soleil ont une monture en or très sexy ainsi que des verres de couleur brun teinté. Si vous êtes un fan de Dolce & Gabbana, cette paire de lunette unique au monde n’est pas quelque chose que vous pouvez vous permettre de manquer. Les lunettes les plus chères du monde par Dolce & Gabbana coûtent 270,000€ de quoi être fier d’arborer ce chef d’oeuvre posé sur le bout de votre nez ! |
Fauteuil Swarovski pour animaux riches
Fauteuil Swarovski pour animaux riches
Fauteuil de luxe: Fauteuil Swarovski par Mai Julia Pour ceux qui déguisent leur chien en Roberto Cavalli, voici un trône royal pour correspondre à votre animal en costume. Wilbur du designer Mai Julia est une magnifique chaise incrusté de seize cristaux Swarovski disponible en blanc et en noir. Les fauteuils faits à la main pour animaux sont bordés de rembourrage souple pour un confort maximum. Le couvre-matelas en tissu et le dossier sont amovibles et lavables. |
LE SAC A MAIN LE PLUS CHER DU MONDE
Chanel Diamond Forever Alligator est le sac à main le plus chère du monde
Sac à main de luxe: Chanel Diamond Forever Alligator Ce sac est composé de 334 diamants pour un total de 3.56 carat inséré dans 18 carat d’or blanc tout cela posé sur de la peau blanche de crocodile. Le Chanel Diamond Forever Alligator est sorti en décembre 2007 et seulement 13 exemplaires étaient disponibles. Le prix du sac à main Chanel Diamond Forever Alligator est de 185,000€ environ. Il est vrai que c’est le prix de trois belles voitures, mais certaines personnes peuvent se le permettre. Avec seulement 13 exemplaires prévus, posséder l’un de ces sacs serait comme étre un collectionneur d’art détenant une des peintures de Picasso. |
Donna Karan Collection — Automne 2009 PRET A PORTER — Accessoires
Donna Karan intitule sa collection « Le pouvoir de New York ».
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Marc Jacobs — Automne 2009 PRET A PORTER — Accessoires
700 invités au lieu de 2000, et embargo sur la traditionnelle fête hype : l’humeur a l’air en berne chez Marc Jacobs où Robert Duffy, président, déclare clairement (au WWD) « que ce n’est pas le moment de dépenser de l’argent pour amuser le monde entier ». Le designer, lui, reste bien décidé à poursuivre sa relecture mode du moment, décalcomanie d’images, sa méthode de travail préférée. Cette saison, cap sur les années Klaus Nomi. Coiffure, make up et panoplie sont raccord à l’extravagance hantée du contralto, rehaussé par la vision couture d’un Marc Jacobs toujours plus amoureux de son métier. Toutes les silhouettes balancent entre le circus et l’atelier grand chic des années Palace, Studio 54. Sur le fil du rasoir, les babydolls tracent leur piste entre comique de rue et l’élégance des beaux quartiers. La petite jupe ballon sur cardigan à découpes en cashmere et leggings à volutes entre en piste, déjà bousculée par les maquillages vaudevillesques, les coiffes barbe à papa, les pierreries en surenchère. Les volumes amplifiés, les épaules sculptées au burin, les pans carrés flottants posent les premiers repères. Mise à plat, la collection est bourrée d’achats coups de coeur, de la cape en astrakan blanc, à la veste à capuche triangulaire, du jean bleu ciel à taille haute et jambe étroite, à la blouse de satin noire oversized. Les manteaux géométriques affichent les couleurs DayGlo de la rave party sous acide, rose chamallow, vert pomme, orange vitamine, purple acide. Paillettes et brocards jettent des éclats de lumière « cheap and chic », bleu, violet et or. Les robettes du soir en satin luisant se plissent en accordéon et s’évasent en pans flottants, un rêve de clown triste ou de marquise déclassée, à porter sur bottines à noeuds rose.
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Louis Vuitton — PRINTEMPS 2009 PRET A PORTER — ACCESSOIRES
Chez Vuitton, le défilé commence à l’heure et les rédactrices en train de discuter se bousculent pour trouver leur chaise. Après une relecture assez vertigineuse en hommage au style Loulou de la Falaise la saison précédente, Marc Jacobs semble avoir revu la version remasterisée du Lola Montes de Max Ophüls, ressorti sur les écrans il y a peu. Soit une ribambelle de Courtisanes, de filles habillées dans des robes froncées, plaquées de rubans ou plissées, des couleurs aussi douces qu’un beige fond de teint et un rose crémeux, des nœuds pour habiller des bottines vernies au talon comme un pied de meuble du Second Empire. La collection respire l‘humour qui sied si bien à l’univers du créateur. Pour Vuitton, Marc Jacobs a réinventée Nana, l’héroïne de Zola aux mœurs émancipés, mais avec toute l’audace et la connaissance d’un style en phase avec son époque. Cette Cocotte version 2009 force le sourire, apporte la gaieté : elle apprécie plus que tout les fanfreluches, les froufrous, et n’hésite pas à enfiler la veste démesurée à larges épaules de son amant débonnaire sur une robe courte gonflée d’une faille de soie rose shocking. Depuis quelques saisons, Marc Jacobs excelle en rebondissements stylistiques. Sa mode spirituelle s’est allégée, jouant avec les artifices de la manière la plus enjouée. Si Sofia Coppola décidait de donner sa version personnelle et actuelle d’un film dédié au Second Empire, ces vêtements pourraient parfaitement l’inspirer… | |||
récit : Vogue |